Dusk Lumiris

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Fiche Iekazu
Dusk
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Messages : 97
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PNJ
Dusk
Identité du dresseur
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Iekazu Lefebvre
Feat. Ross - Senyuu
18 ans
Lycéen
06.03.2003
Aucune Faction
Galar
Habite Windoria
Il
Pulsar
Assidu
Combattant
Tenace
Sacarstique
Violent
Insociable
Tu es pourri, Iekazu.
Tu as les propos venimeux, le rire mauvais et le regard rempli de mépris, quand tu t’adresses aux autres. Tu as le regard blasé, les “casse-toi” que tu prononces indirectement à chacun de tes mots et l’envie d’être seul. Parce que la solitude, c’est ton refuge : Tu n’as jamais aimé être entouré, tu n’es pas de ces gens qui ont besoin des autres pour se sentir exister. Au point qu’ils sont rares, ces gens que tu estimes véritablement. Si possible qu’il y en ai, aussi, qui arrive à te supporter.

Parce que tu es moqueur, que chacun de tes propos, tu préfères les tourner à la plaisanterie et que la pure gentillesse, c’est rarement fait pour toi. Tu n’es pas, et ne sera sûrement, de ces anges qui donneraient tout pour les autres, tu es bien plus égoïste, bien plus dans ce besoin de te faire passer avant. Et pourtant, pour ces gens que tu pourrais respecter, apprécier, tu donneras. De tes poings, pour les défendre, d’un peu de toi si tu n’as pas à te sacrifier. Tu es mauvais, c’est vrai, et pourtant pour ceux que tu laisserais avoir à tes côtés, tu pourrais devenir meilleur.

Et pourtant, pourtant, tu es pourri, Iekazu. Parce qu’il y a de la colère, en toi, profonde, destructrice. Parce qu’il y a la rancoeur, celle que t’a laissé cette famille et dont tu ne parviens pas à te détacher. Tes poings aussi, tu les laisse parler, quand tu débordes. Tu as la rage, qui te fait trembler, ce traumatisme et cette rancune dont tu ne parviens pas à te détacher, quoi que tu en dises. Et puis, ce sont tes propres regrets qui, après coup, t'explosent à la figure et te font sombrer. Mais tu détestes montrer tes failles, alors tu diras que tout va bien.

Tu es un gosse paumé, celui qu’on a pas parmi l’innocence, et pourtant tu as des rêves et de l’espoir plein la tête, quand tu vas bien. Tu as de l’ambition, et tu ne baissera jamais les bras facilement. Vivre, c’est bien ce que tu peux faire de mieux, dans le fond, peu importe ce que les autres auront à te dire. Tu brilles, par ta rage de vivre, tu tiens debout malgré tout.

Priant pour qu’un jour, tu puisses être totalement droit, loin de cette pourriture qui te donne la nausée.

Iekazu, il vit de mépris et de moquerie x Mais il est croyant, vouant un culte autant à Arceus qu’au Dieu humain x Il rêve de devenir architecte x Il passe son temps à dessiner des bâtiments, et des paysages x Sinon, ses journées il les passe sur minecraft ou sur les sims x Il mesure 1m75 x Et la mode, c’est pas du tout son truc x Il kiffe les gilets et les jeans x Puis il s’habille absolument pas coloré x Son autre passion, ce sont les films et les jeux d’horreurs x Il a une phobie des orages, chose qu’il n’assumera jamais.
C’est son meilleur allié, Naraku. C’est ce Cornèbre qu’il a connu lorsque l’oiseau était tout petit, qui est venu se cogner à sa fenêtre en pleine nuit et qu’il a soigné. Ce coup du destin qui les a liés, aux premiers instants. Et l’oiseau, il lui en a toujours été reconnaissant, alors il est resté à ses côtés, à veiller sur lui de loin, avant de se tenir tout près de lui. Alors, pour Iekazu, c’était naturel de l’avoir comme starter, c’était lui, pas un autre. Et ça sera toujours lui, ce Cornèbre taquin, et incroyablement loyal, plus que n’importe quel autre Pokémon, comme allié à ce monde.
Naraku
Cornèbre
Mâle
Insomnia

Cette histoire ne mérite pas d’être racontée.

Tu aimerais bien pouvoir tourner le dos à tout ça, oublier ton enfance et avancer simplement. Tu as ta vie aujourd’hui, d’un simple lycéen aux rêves d’avenir déjà tracés dans ton esprit. D’un môme peu sociable et qui n’aime pas se mêler au reste de la classe. Parfois, tu te demandes ce qu’ils peuvent bien penser, quelle image de ton passé tu peux renvoyer même sans y faire attention.

Et tu espères que personne ne remarque les blessures d’autrefois.

C’est qu’elle aura été bien pathétique, ton enfance. La violence comme quotidien, et la peur à chaque fois que tu rentrais de l’école. Quand toi et ta jumelle vous étiez face à ces deux personnes que vous appeliez maman et papa, à guetter le moindre signe de colère de leur part, et le nombre de bouteilles vides dans le salon ajoutées depuis le matin. Vous le saviez, qu’un rien ferait de votre soirée un enfer, qu’importe les efforts que vous pourriez faire pour eux.

Peur, violence et rancœur, c’est qui faisait ton quotidien.

Tu as vécu longtemps dans la région de Galar, et ta vie a commencé à Corrifey. Tu l’aimais bien, cette ville à l’ambiance enchanteresse, pourtant c’est bien là où tu as les pires souvenirs de ta vie. Il n’y avait bien que ta sœur pour y mettre un peu de douceur, celle qui était autant ton soutien que tu pouvais être le sien. C’était elle et toi, ensemble, à partager vos souffrances dont vous taisiez l’existence devant les autres, devant les adultes à l’école surtout. Aujourd’hui, tu t’en demanderais si ils se doutaient, ou si ils étaient totalement aveugle. Enfant, tu aurais presque pu être persuadé que ta vie entière resterait aussi sombre qu’elle était, à l’époque.

Et pourtant, tu as toujours cherché un espoir. Si au fil des années tu ne cherchais plus l’amour de leur part, que tu as fini par totalement mépriser tes parents plus que les redouter, tu t’es mis à chercher une issue. Alors tu as prié pour un peu d’aide. C’était sûrement ridicule, dérisoire, mais tu as trouvé dans ces prières un soutien en attendant qu’enfin, on vous sortent de cette vie-là. Tu voulais que ta soeur elle aussi, ait un peu d’espérance, alors pour ne pas la laisser tomber, tu as commencé à lui promettre qu’un jour, vous vous en sortirez, et que quand vous serez grand tu lui construiras une grande maison où elle et toi, vous serez simplement libre. Mais même toi, tu n’es pas sûr d’y avoir cru, à ce moment-là.

Ton autre soutien, tu l’as trouvé en pleine nuit, quand un bruit contre la fenêtre t’as réveillé soudainement. Tu n’as pas compris tout de suite, et encore moins remarqué les premières secondes dans la pénombre l’oiseau gisant en bas de la fenêtre. Ce petit être blessé qui, sans réfléchir, tu as recueilli dans la chambre que vous partagiez ta sœur et toi et que tu as caché jusqu’à pouvoir le soigner, en plein milieu de la nuit. C’était un Cornèbre, que tu n’aurais jamais cru voir ici, si jeune, et toi tu as espéré pouvoir lui apporter son aide. Le lendemain, c’est à l’école que tu l’as emmené, espérant que ta maîtresse ait le cœur d’aller l’emmener le faire soigner. C’est un soulagement quand elle a accepté, gobant ton mensonge sur l’indisponibilité de tes parents à pouvoir s’en charger. Ce n’est que quelques jours plus tard, complètement guéri, que l’oiseau t’es revenu à toi sans que t’y attende. Tu pensais qu’il oublierait vite, qu’en tant que Pokémon, il continuerait simplement sa vie sans plus de gratitude que ça. Mais à la place, il est resté à tes côtés, de loin. Et pour toi, c’était un peu de baume au cœur, l’idée que tu aies été important pour quelqu’un d’autre que ta jumelle.

Et il est arrivé, ce miracle, lors de tes neuf ans. Rien n’aurait pu prédire ça, le matin, journée tristement habituelle à tes yeux. Quand on vous a fait venir soudainement dans le bureau du directeur, et les mots n’ont pas fait sens dans ton esprit alors qu’on t’expliquait la situation. Votre mère ne sera plus jamais là, et votre père venait d’être arrêté, c’est devenu votre réalité, mais surtout votre porte de sortie. Tout s’est arrêté aussi brutalement que tout ceci avait commencé, mais tu ne saurais dire si c’était vraiment ça, le soulagement.

Evidemment, vous aviez eu le droit à des questions, et enfin le silence se brisait. Vous avez été placé en orphelinat, dans un établissement où tu te refusais de socialiser avec les autres enfants, où seule ta soeur comptait pour toi, maintenant, toujours accompagné de ce Cornèbre qui a tenu à te suivre à ta plus grande surprise. Pourtant toujours libre, il a élu domicile à l’extérieur de l’hospice en restant à tes côtés. Mais loin de l’ambiance chez toi, l’orphelinat, c’est devenu ton havre de paix. Et cela aurait dû le rester, si une famille n’avait pas décidé d’emmener ta sœur, te laissant toi car ils n’avaient pas les moyens d’accueillir deux enfants. Tu leur en a voulu, à eux, de l’avoir choisi elle alors que les enfants ne manquaient pas, malgré la promesse tenue de maintenir le contact entre vous. De ta famille, il ne restait plus rien que des lettres que vous vous écriviez.

Et un jour, c’est à toi que les adultes ont parlé, à toi qu’on a proposé de partir d’ici. Cette famille, elle s'appelait Lefebvre, et les deux adultes avaient déjà une enfant plus grande que toi, nommée Victoire. Mais pour toi, c’était presque effrayant, une famille aussi douce, il t’aura fallu du temps pour t’y faire. Tu avais accepté, et pourtant, te lier à eux te paraissait une idée absurde, alors tu t’es montré froid et distant, surtout envers cette grande-sœur. Qu’importe les regrets que ca te laissait, dans le fond. Tu aurais espéré qu’ils en aient marre, qu’ils te remettent là d’où tu viens et qu’ils en prennent un autre plus gérable, parce que tu savais très bien que l’amour qu’ils essayaient de te donner, tu ne pouvais pas y répondre de la façon dont ils le méritaient. Mais ils ne l’ont jamais fait.

Alors tu as grandi, à Ludster, et la vie t’as paru plus douce. Tu as continué à prier, dans l’idée que cette foi vous a sauvé de cette famille, te laissant espérer qu’au ciel, il y avait bien quelqu’un pour veiller sur les humains. Et de ta promesse faite à ta jumelle, tu t’es pris de passion pour l’architecture et pour le dessin. Au fil des années, tu en as appris un peu plus sur ta famille adoptive, sur les origines Lumirienne de ta tutrice et notamment son implication dans la faction Hestia. A l’époque, tout ceci te semblait abstrait, pourtant tu aurais presque eu envie de t’y intéresser plus. Alors, sans rien leur dire, tu as commencé à faire des recherches sur Lumiris, sur le groupe qui semblait faire leur fierté.

Et avec eux, tu aurais presque pu oublier cet autrefois si troublé, cette rancœur qui a soudainement éclaté.

Au collège, tu étais froid avec les autres, méprisant au possible à en énerver plus d’un. Les autres, ce n’étaient qu’une façon d’évacuer oralement un peu de cette colère présente au fond de toi. Tu poussais les autres à la bagarre pour pouvoir justifier ta défense, mais ça n'a pas duré longtemps. Parce que tu craignais que cette famille soient méprisé de ne pas pouvoir t'élever correctement, parce qu’ils ont fini par te pousser à aller voir un psy, tu as rangé tout ce ressentiment en toi, priant tout les jours pour qu’elle n’explose pas un jour ou l’autre. La prière, c’est aussi devenu ta force à ne pas céder.

Le lycée, ça se résumait à tes yeux à un endroit où étudier, sans y prêter attention à tes camarades. Ils avaient pourtant essayé, certains, d’être amical avec toi, mais tu n’as jamais voulu les laisser approcher ton espace. Seul, tu étais bien mieux, pourtant tu te laissais parfois à penser qu'avec une personne à tes côtés, tes années lycée seraient un peu plus douces. Souvent, c’est à ta sœur que tu pensais, que tu as pu revoir il y a peu, avant que sa famille n’aille déménager dans une autre région. Vous aviez continué à vous écrire, mais ce manque d’elle à tes côtés a toujours été une blessure pour toi. C’est peut-être ce qu’il t’a poussé à accepter un jour l’invitation à une soirée, Et ce fut la pire erreur de ta vie.

Tu as vite voulu fuir, devant ce monde trop présent pour une seule maison, de cette ambiance sonore bien trop désagréable pour toi. C’est dehors que tu as retrouvé ton refuge, jusqu’à la vision d’un aîné de ton lycée, soule. Tu ne saurais dire pourquoi tu l’as approché, pourquoi tu as commencé à lui parler et à quel moment tu as vu en lui le reflet de tes géniteurs. Mais il était là, lui et son attitude aussi affligeante que méprisante, et toute ta colère est ressortie.

Tu as frappé

Tu en riais, alors qu’il était à terre et sans défense. Tu te rappelles aussi trembler, avoir la nausée devant le sang qu’il crachait, mais tu ne t’es pas arrêté pour autant. Tu l’as méprisé, jusqu’au bout, jusqu’à le laisser simplement là. Tu en as ignoré les témoins qui sont arrivés, au même moment. Tu te rappelles de cette haine que tu as éprouvée envers toi-même, alors que tu t’es retrouvé dans ta chambre. Tu n’as rien dit, rien montré, mais la sentence est quand-même tombée.

Il a porté plainte, avec les témoins, et tu t’es retrouvé renvoyé du lycée. Tu lui en as voulu, tu t’en es voulu, et devant tes parents adoptifs, tu ne pouvais que baisser la tête honteux. Et tu t’es demandé, au fond de toi, comment on pouvait te faire payer aussi simplement ta véritable première faute quand tu as subi durant neuf ans de ta vie. Et de cette histoire, il n’y a que de l’amertume, pour un soulagement d’une seconde.

Tu aurais espéré qu’ils te détestent, que cette fois ils t’abandonnent pour de bon, mais à la place ils sont décidés qu’il était temps de partir loin de Galar, de recommencer de zéro ensemble. Lumiris, c’était le choix évident, alors vous vous êtes retrouvés à Windoria. Avant que tu ne t’en ailles, tu as décidé de faire du Cornèbre ne t’ayant toujours pas lâché ton starter, et tu lui as donné un nom qui peut paraître bien sombre. Cela fait un an, maintenant, et tu auras mis du temps à prendre tes marques. Mais dans ce nouveau départ, tu y as rencontré cette personne devenu la seule véritablement précieuse ici. Tu t’y es fait une meilleure amie, Audrey, ce triste reflet et cette meilleure alliée, contre le monde.

Contre cette vie à laquelle tu aimerais tourner le dos.
Pourquoi les Pulsars ?
Il en a besoin, de se montrer fort. De pouvoir être fier de lui, de tenir sur ses deux jambes et de crier au monde qu’il ne se laissera pas être écrasé. Il y a de l’arrogance dans ce choix, de l’insolence. Mais il y aussi ce besoin de ne pas laisser tomber ceux qui ont mérite d’être aidé qui le fait bouillir, d’en réparer ses propres erreurs et y balayer ses démons qui, parmi les autres groupes, l’ont fait choisir celui-la.
Pseudo(s): Huyhine
Âge: 27 ans
Localisation: En bourgogne
Pronom(s): Elle
Comment nous as-tu trouvé ? // Ca fais bientot un an.
Ton Pokémon préféré ? // Trop pour en dire un
As-tu un parrain ? // Damien
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // Que vous restiez beaux owo
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