Dusk Lumiris

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Fiche Noboru
Dusk
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PNJ
Dusk
Identité du dresseur
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Trophéespassez la souris sur les icones
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Noboru Arzan
Feat. Shou Kurusu - Uta no prince-sama
24 ans
Etudiant en droit
15.02.1997
Aucune Faction
Kalos
Habite Nemery
Il
Eclipse
"Souriant"
"Sociable"
Intelligent
Hypocrite
Lâche
Méprisan
Tout n’est que sourire.

Le monde qui le regarde voit un sourire, dessiné sur son visage de manière permanente. Car c’est une obligation pour lui il faut croire, d’avoir une expression de sympathie. C’est vrai que dans son cas, beaucoup diront rapidement qu’il est une personne sociable. Toujours à aller voir les autres, à qui il vient en aide dès que la possibilité se montre. Noboru, c’est le cas typique du garçon plutôt populaire et agréable avec tous.

Mais qui est malgré tout calme et mature, ce qui ne l’empêche pas de rire et de sourire tout simplement à la vie même en restant un jeune homme posé. Il est sérieux dans tout ce qu’il entreprend. De l’ambition il en a, et ne laisserait rien gâcher ses projets. Pourtant, le blond se refusera d’écraser les gens pour ça, paraît-il.

Et comme il est un jeune homme aimant la compagnie, celle des filles ne lui semble pas désagréable non plus. Oui, c’est un garçon aimant le plaisir charnel. Bien qu’il s’y prend toujours avec douceur, n’essayant pas de blesser les filles. Ca serait triste pour elles après tout, pas vrai ? Semblerait-il que ca lui ferait mal, de les briser. Et ça ne collerait pas à son image d’homme respectueux, après tout, hein ?

Dommage, que ce qu’il semble être soit si faux.

Tout n’est qu’hypocrisie

Le monde qu’il regarde n’est que mépris. Un sourire faux, c’est une chose tellement simple pour lui. Comme la gentillesse, comme toutes ces belles paroles qu’il emploie. Ce sourire que le blond arbore n’est là que pour lui permettre de se servir des autres, c’est tellement plus simple ainsi après tout. Au moins, personne ne voit l’être blasé de tout qu’il est en vérité, car la froideur n’est pas quelque chose que les gens aiment. Alors autant être « parfait » ? Oui, c’est la chose qui l’amuse le plus. Mais au fond, il n’aime quasiment personne, mis à part sa petite personne évidemment.

Egoïste donc, faisant tout par calcul et pour lui-même, il ne s’en veut pas en plus pour ça. Les regrets, c’est bien une des seules choses qu’il ne connaîtra jamais, enfin c’est ce qu’il pense en tout cas. Car comment pourrait-il avoir des remords pour des gens aussi insignifiants, après tout ?

II est fier, et sûr de lui. Il a une confiance infaillible envers lui, sans doute même un peu trop. Il pourrait bien se faire avoir par son assurance. Un jour peut-être, il se fera prendre à son propre piège ? Ça serait horrible pour lui, qui est si mauvais joueur. Car s’il y a bien une chose qu’il déteste par-dessus tout, c’est de perdre.

Il s’amuse de tout, mais surtout de ces idiotes qui ne voient pas le masque qu’il porte. Il est doué, pour jouer au petit ami idéal afin d’avoir ce qu’il souhaite, mais les quitter car cette situation ne l'amuse vite plus. Il se lasse ? Oui, un peu trop facilement. Et pour les filles, c’est pareil. Mais comme il se doit d’être un bon garçon, il se débrouille bien pour que cela n’entache pas sa réputation.

C’est si simple, de tout cacher de cette façon après tout.

Tout n’est que haine

Tout ce qui fait partie de ce monde n’est que stupidité. Lui, eux, en fait il se demande bien pourquoi il se force. Parce qu’on lui a fait comprendre que sans sourire, rien ne peut aller ? Mais au moins c’est pratique, son hypocrisie le protège de tout. Son sourire faux n’est présent car au fond de lui, il n’y a que de la haine. S’en rend-il au moins compte ?

Cela risque d’être dur, vu qu’il ne se connait pas soi-même. Qui il est ? Un être complètement blasé, un être souriant et agréable ? C’est bien une des seules choses à laquelle il ne saurait répondre, ne se posant même pas la question. Il continue encore et encore à sourire.

Sans s’attacher. Car il n’aime pas l’attachement, pour ne pas dire qu’il méprise ceux qui apportent une quelconque importance à l’amitié, voir même s’attachent trop à la famille. Mais si il se mettait à tenir à quelqu’un, Noboru, peut-être serait-il le premier à tout faire pour garder cette personne à ses côtés.

Pardonner ? Il ne sait pas faire, bien trop rancunier. C’est ce qui le pousse à avoir autant de haine d’ailleurs. Une haine bien trop mauvaise, bien trop destructible pour ceux qui l’entourent, et qui pourrait chercher à le connaître vraiment. Il serait capable de beaucoup de choses pour arriver à ses fins.

Noboru, être si tordu. Mais après tout, vous ne verrez sûrement qu’un sourire.

Il sourit, tout le temps x Alors qu’il est blasé au fond x Méprise les gens x Petit, c’était juste un gosse qui aimait pas qu’on l’approche x Puis il a changé, et a appris à sourire, pour de faux x Ses meilleurs moments, il les vit seul, dans sa chambre, avec une manette ou une console en main, ou avec un livre x Depuis son arrivé à Lumiris, personne ne l’a vu sans son sourire x Mesure 1m76 x A toujours des barrettes dans les cheveux x Il s’habille plutôt coloré x Alors qu’il déteste ça.
A l’origine, Réglisse appartenait à son père. Noboru l’a toujours connu, d’aussi loin que ses souvenirs remontent, et ca aura été le seul être vivant qu’il a toujours supporter. Pourtant, il ne pensait pas le garder auprès de lui. Réglisse, c’est ce Wimessir qui le regarde avec bienveillance, qui semble le comprendre plus qu’il ne le faudrait. Mais il est là, et Noboru y tient plus qu’il ne le prétendrait.
Réglisse
Wimessir
Mâle
Attention
Mensonge n°1 : maman

« Il parait que ta maman elle est pas morte, mais qu’elle t’aimais pas. C’est papa qui me l’a dit ! »

Sa mère, il ne l’a jamais connu, à part de ce qu’en disait son père. C’est qu’il ne posait pas vraiment de question, le petit garçon, qu’il se contentait des récits qui ne l’intéressait qu’à moitié. Sa famille, c’était son père, rien que lui sans une femme soit disant au ciel pour veiller sur eux et qu’il ne connaîtra jamais. Il y a eu le droit aux questions, aux « et ta maman elle est où ? », et « ta mère elle fait quoi comme travail ? » qui se retrouvaient sans réponse, d’un regard blasé et d’un « j’ai pas de maman » d’un ton froid. Qu’il les détestait, Noboru, les regards de pitié ou les froncements de sourcils. Qu’est ce qu’il avait de mal, après tout, à ce qu’elle ne soit plus là. Au mieux, qu’elle veille malgré tout loin sur eux ?

C’était sans doute mieux que la vérité, brutale. Que d’entendre de la bouche d’un enfant de son âge que sa mère était vivante, juste partie parce qu’elle en avait rien à faire de son père, de lui, et de se mettre à douter des propos que son père lui a rabâché de ses trois à sept ans. Ca semblait absurde, d’un coup voir ce en quoi il croyait se briser ainsi. Et dans le fond, pour s’assurer que ce n’était pas son père le menteur, il lui suffisait d’une simple question.

« Dis papa, c’est vrai que maman elle n’est pas morte ? »

Alors, devant le regard bleu azur du môme, c’est le masque de celui en qui il avait le plus confiance qui tombe. Et la vérité lui sembla bien amère.

Mensonge n°2 : Papa

«N’oublie pas que papa t’aime, Noboru »

Le blond n’avait pas de quoi se plaindre dans la vie. Son père, c’était ce digne patron d’une boîte d'événementiel, qui parfois donnait l’impression d’apporter plus d’importance à son travail qu’à son fils. Il n’était pas souvent là, c’est vrai, souvent c’est une nourrice qui s’occupait du gosse, souvent sage, bien trop calme et constamment dépité, comme si peu de choses l'intéressait autre que ses livres et ses jeux vidéos. Surement parce qu’il n’y a rien d’autre qui le captivait, en fait, et certainement pas les gamins de son âge, si blasants et stupides. Surtout ce camarade, qui une fois s’est permis de lui dire ô combien le blond est ennuyant, ce même camarade qui s’est permit de faire éclater la vérité sur sa mère.

Mais tout cela lui allait parfaitement, à Noboru, heureux de sa vie à Illumis. Petit gosse d’à peine 9 ans qui se contentait de peu, des démonstrations simples d’affection de son père, de ses bonnes notes qui le rendait fier et des félicitations des maitres et maitresses qu’il a eu lors de sa scolarité. De sa solitude, quand le seul être vivant qu’il supportait autre que son père et sa nourrice est le Wimessir de son père, Réglisse, son seul partenaire de jeu qui ne s’imposait pas, ni ne disait non quand le petit souhaitait sa présence. Le seul, à qui il pouvait confier sa lassitude des autres sans avoir l’impression d’être jugé à coup de « Tu ne fais pas d’efforts. »

Puis un jour son père change, un jour son père semble être pris dans des problèmes qui le dépassait, l’enfant, ne comprenait pas les journées passé dans son bureau au téléphone au lieu d’aller à son travail. « Ton père a des problèmes avec sa boite, depuis qu’un de ses employés a mal agit, alors il angoisse. » C’est ce que lui explique un des amis de son père, un jour, quand il demande. « Soit là pour lui, sourit lui, ca lui ferait plaisir ! »

« Sourire ». Le blondinet, souvent trop blasé, s’y est essayé, s’est mit à sourire pour la première fois devant un père qui ne semble pas remarquer. Ca semblait surement trop étrange, trop faible ou trop forcé, comme expression, pour qu’il le voit. Alors il a continué, Noboru, pour une fois il a décidé que l’homme qui l’a élevé seul méritait un peu mieux que ses airs lasses.

« Papa, aujourd’hui j’ai obtenu un neu…
- Je n’ai pas le temps Noboru. »

Comme seule réponse, une porte claquée, et le gosse qui se retrouvait à manger seul, comme depuis quelques semaines. Alors, il abandonne ce sourire qui lui semblait bien stupide, maintenant.

Six mois plus tard, son père semblait remonter la pente, commence à re-montrer un peu d’affection à l’enfant, qui pourtant le devinait ailleurs, un peu tourmenté par d’autres choses qu’il ne comprenait toujours pas. Il espérait, Noboru, pendant un temps, que tout ça soit derrière eux. A peine un an plus tard, l’espoir se brisait de plus belle, quand un jour la police vient pour arrêter le père.

« On a découvert que ton père utilise de l’argent sale pour remplir les caisses de son agence ». Il écoutait, le regard sombre, le policier chargé de rester vers lui tant que personne ne pouvait venir s’en occuper. Des heures, à rester chez lui en ignorant le policier qui tente de lui poser quelques questions. Il y croyait vraiment, l’agent, qu’un gosse savait quoi que ce soit sur les activités de son père ? Peut-être, si, il aurait dû savoir, qu’il aurait dû comprendre.

On lui parle d’une tante, qu’il ne connaissait pas, qui habite à Lumiris et qui a accepté de venir rapidement. Il faut quelques jours, pour qu’une femme arrive. Elle lui ressemblait, un peu, à son père. Le blond la regarde, et puis, il y a un bonjour de sa part à elle, hésitante. Il reste muet, quelques secondes, fixe sans aucune expression cette tante inconnue. Et il sourit.

Il ignore encore à quel point ca semblait faux, toujours est-il qu’il remarque qu’au moins elle ne lui demande pas comment il se sent, peut-être par crainte de voir ses efforts pour sourire se briser aussitôt ? Si elle savait, que ce n’est pas dans ses habitudes, que lui-même n’est pas certain de savoir pourquoi il y parvenait, à cet instant. Il l’écoute dire qu’elle peut rester ici une semaine, qu’ensuite il pourra venir chez elle, le temps que les choses s’arrangent, et dans sa tête, il espère juste qu’elle se taise, qu’elle le laisse seul.

Quand enfin il voit son père au parloir, ce n’est que le silence qui règne, le regard sombre et rempli de mépris du gosse devant l’homme incapable de dire quoi que ce soit. Alors, ce n’est  finalement qu’un « Tu me dégoûtes » qui s’échappe des lèvres de l’enfant au moment où il quitte la pièce. Il aurait aimé faire exploser sa colère, lui dire qu’il lui en veut d’avoir préféré souhaiter sauver son entreprise plutôt que de rester à ses côtés.

C’est quelques heures plus tard, seulement, que d’une voix tremblante sa tante lui annonce que son père a préféré en finir.

Et le monde entier, un peu plus, l’écoeure.

Mensonge n°3 : Noboru

« T’es ennuyant, quand même, tu sais ?! »

Ces mots, c’était l’un de ses camarades qui lui a balancé à la figure, un jour. Ils ne s’entendaient pas, il faut dire, l’autre étant bien trop fougueux et Noboru trop dépité pour le supporter. Visiblement, ca ne plaisait pas au gosse, qui a décidé depuis le jour où il s’est fait rembarré de le prendre en grippe, avec une fierté malsaine en parlant de la mère. Il se demandait souvent, Noboru, si il savait vraiment, ou si ce jour là il n’avait cherché qu’à le blesser.

Ça l’aura marqué, en tout cas, ce blondinet de 11 ans qui vient tout juste de perdre son père. Ce gosse qui se contentait de regarder froidement les autres, ses camarades qui semblait un peu trop intéressé par la situation. Noboru les entendais bien, même si il les ignorait, les « Tu sais que son père est mort ? », « Il paraît que… », dans les couloirs de l’école et derrière son dos. Et puis ceux, qui venaient le voir pour savoir comment il allait, comme si ils s’en préoccupait vraiment. Quand bien même ca aurait été le cas, Noboru se contenterait de les envoyer bouler.

Il en voulait un peu à cette femme, sa tante, d’avoir souhaité qu’il reste à Illumis la fin de son année, la dernière de l’école primaire, quitte à se retrouver obligée de rester loin de sa famille pendant ces deux mois. Il lui en voulait, oui, et pourtant quand il rentrait de l’école, il lui adressait un sourire si faux, ça lui semblait bien plus facile ainsi de supporter l’ambiance à la maison, et d’ainsi éviter les inquiétudes de sa part.

Souvent, il la voyait pleurer dans la chambre de son père, la porte entrouverte. Il ne voulait pas s’y attarder, à vrai dire, mais un jour elle lui demanda de la rejoindre, ce qu’il fit avec une seconde d’hésitation. Dans la main de la femme, un cadre contenant une photo que le blond n’avait jamais vu, pour n’être pratiquement jamais allé dans la pièce.

« Tu sais… Ton père et moi, on était proche quand on était enfant et adolescent. Puis on a commencé à avoir chacun notre vie de notre côté, Will était prit par sa boite… C’était son rêve depuis enfant, tu le savais ? Et moi… J’ai trouvé quelqu’un à Lumiris, et je me suis installée avec lui. Au début, on était encore en contact, j’ai même eu la chance de te voir régulièrement jusqu’à tes deux ans, et puis… On a été trop pris tous les deux, par les aléas de la vie, et sans même que je m’en rende compte on a installé une distance entre nous, nos conversations devenaient de plus en plus rare… Quand j’ai appris tardivement qu’il avait des soucis avec sa boite, j’ai voulu l’aider, mais il ne m’a pas laissé faire…. Je crois qu’il m’en voulait, de n’avoir pas réagi avant, de n’avoir pas été là surtout quand il s’est retrouvé… Enfin, quand ta mère vous a abandonnés. Si j’avais insisté, peut-être qu’il serait encore en vie…»

Dans son regard à elle, il y avait des regrets et de la tristesse, sûrement aussi une pointe culpabilité qui ne demandait qu'à être pardonner. Le gosse n'en fait rien, sourit et la pousse à raconter des anecdotes entre son père et elle, d'avant, dont il n'a que faire. Mais au moins, chez lui, il se sentait presque paisible, loin de ses camarades et de leur curiosité morbide.

Jusqu’à l’arrivé soudaine d'un camarade, d'un souffle d'air frais dans l'intérêt que lui porte les autres. Le gamin star qui attire l'attention, même celle de Noboru. C’était devenu son moyen de faire taire les rumeurs le concernant, juste un peu, pas totalement, et quelques jours plus tard le seul de l’école à qui il souriait, jouait le rôle du camarade agréable puis de l’ami, alors que tout les autres il les traitait avec froideur. Les ont-dit se sont tues, transformés, et Noboru s’est surprit à s’en amuser. C’était peut-être ça, qui avait manqué à sa vie pour la rendre plus confortable : Faire semblant.

« T’es ennuyant, quand même. » Maintenant il ne le sera plus.

Et son départ à Lumiris, durant l’été de ses 11 ans, il le voyait comme un renouveau. Ca a commencé par la famille de sa tante, avec qui il a toujours su se montrer bienveillant, et leur nom de famille qu’il a prit pour se sentir intégré, au fond par crainte que le nom de son père ne cause encore de problème. La seule chose qu’il lui restait du passé, c’était Réglisse, Wimessir qu’il n’a pu se résoudre à abandonner, quand bien même l’idée lui a traversé l’esprit.

C’était devenu simple, de faire semblant, de sourire. Simple, de devenir populaire, d’avoir la réputation du mec bon vivant et dont on apprécie la compagnie. Lui jubile, se marre intérieurement jusqu’au moment où il est enfin seul, sans plus aucun regard, au moment où tout redevient gris et vide. C’était tellement simple, amusant et écoeurant.

Sa décision de travailler plus tard dans le droit, elle est venue en troisième, et s’assurer une place en fac ne fut pas bien compliqué. A dix-huit, il prend la décision de vivre seul, par nécessité d’autonomie, c’est ce qu’il a dit à sa tante. La vérité, c’était surtout qu’il voulait prendre ses distances, même si il continue à les voir. Aujourd’hui étudiant, Noboru s’y plait. Et il y joue parfaitement son rôle, encore.

Le sourire aux lèvres, et le mépris au fond.
Pourquoi les Éclipses ?
Pourquoi t'as choisi les éclipses ?
Pseudo(s): Huyhiné
Âge: 27 ans
Localisation: bouarf
Pronom(s): Elle
Comment nous as-tu trouvé ? // burf
Ton Pokémon préféré ? // blih
As-tu un parrain ? // nyrf
Qu'attends-tu de Dusk Lumiris ? // wurf
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